mardi 25 mars 2014

A cette dernière table

À Buenos Aires, il y avait la Tolva, los Cantábricos, il y avait las Violetas. À Morges, il y a la Locanda.

C’est à cette dernière table qu’on finit par relire la dernière version d’un manuscrit mis en page, par se dire que ça ira, par fermer les yeux et verser une larme sur un roman qui prend toujours à la gorge, par surprise, même après toutes ces lectures, après cette chasse aux deux-points tombés du mauvais côté de la page, aux chapitres siamois, aux lignes orphelines.