samedi 22 mars 2014

Le contraire de Joël Dicker

Je me rends compte qu’avec le Sirius, j’ai voulu faire quelque chose qu’on pourrait décrire comme le contraire du projet de Joël Dicker, pour prendre un exemple que beaucoup ont lu. Non pas écrire un roman où chaque élément est utile – et si possible plusieurs fois –, mais un texte où le lecteur doit s’appuyer sur son intuition pour sélectionner, au milieu d’une masse de faits et de discours la plupart du temps contradictoires, des indices donnés l’air de rien, par la bande.