lundi 25 avril 2016

Un seul exemplaire d'un livre qui n'existe pas

Quand je lui ai donné un exemplaire de notre Veneno, Ariel l'a porté à son nez pour respirer son odeur.

En descendant de la voiture pour aller boire un chocolat chaud avec les enfants, il m'a dit que ça lui faisait bizarre de se lire dans une autre langue.

En arrivant à la maison, il a dit à Celia qu'il avait encore un peu de peine à y croire, que je lui avais certainement fait une farce en imprimant un seul exemplaire d'un livre qui n'existait pas.